Ensuite, elle referme la cavité avec le second verre saphir, dépose un joint qui va comprimer la glace et lui permettra d’être contenue, puis elle va la chasser manuellement grâce à une potence. Tout l’art consiste à appliquer une pression uniforme sur tout le verre afin qu’il soit placé de manière uniforme et assure à la montre ou au bijou une parfaite étanchéité. Son doigté dans l'obtention de tolérances parfaites garantit également que les diamants bénéficient de l'espace nécessaire pour évoluer de manière ludique, mais toujours parallèlement au cadran – et donc sans être bloqués entre les deux verres de saphir transparent, ni risquer de se retourner et de révéler ainsi l’envers du décor. Ils réalisent des variations libres et dansent comme s’il n’y avait pas de fin.